Le Plus-que-parfait en Français se forme de l'auxiliaire ÊTRE ou AVOIR + le Participe Passé du verbe. Il se construit avec 2 mots, un verbe auxiliaire à l'imparfait et le participe passé de l'infinitif du verbe qui fait l'action.
*Verbe AVOIR - ÊTRE (imparfait de l'indicatif)
Avoir
j' avais tu avais il / elle avait nous avions vous aviez ils / elles avaient
Être
je étais tu étais il / elle était nous étions vous étiez ils / elles étaient
*Participe Passé
Verbes Réguliers
1 Groupe - er
sauter
sauté
saltar
aimer
aimé
gostar/amar
2 Groupe - ir
finir
fini
acabar
choisir
choisi
escolher
3 groupe - re
vendre
vendu
vender
attendre
attendu
esperar
*Participe Passé
Verbes Irreguliers
avoir
eu
ter/haver
falloir
fallu
necessitar
pouvoir
pu
poder
savoir
su
saber
tenir
tenu
Segurar
valoir
valu
valer
venir
venu
vir
vouloir
voulu
querer
connaître
connu
conhecer
reconnaître
reconnu
reconhecer
paraître
paru
parecer
apparaître
apparu
aparecer
disparaître
disparu
desaparecer
apercevoir
aperçu
perceber
boire
bu
beber
concevoir
conçu
conceber
croire
cru
crer/acreditar
décevoir
déçu
decepcionar
recevoir
reçu
receber
voir
vu
ver
lire
lu
ler
élire
élu
eleger
vivre
vécu
viver
survivre
survécu
sobreviver
Autres Verbes Irréguliers
naître
né
nascer
mourir
mort
morer
dire
dit
dizer
écrire
écrit
escrever
décrire
décrit
descrever
conduire
conduit
dirigir
construire
construit
construir
cuire
cuit
cozer
détruire
détruit
detruir
produire
produit
produzir
reconstruire
reconstruit
reconstruir
traduire
traduit
traduzir
apprendre
appris
apreender
comprendre
compris
compreender
mettre
mis
colocar
prendre
pris
preender
reprendre
repris
repreender
surprendre
surpris
surpreender
acquérir
acquis
adquirir
conquérir
conquis
conquistar
rire
ri
rer
sourire
souri
sorrir
suivre
suivi
seguir
"Comment choisir l'auxilliaire"
1/ Auxiliaire ÊTRE
- tous les verbes pronominaux ( se laver, s'appeler, se coucher...),
Exemple: Verbe SE LEVER = Participe Passé SE LEVÉ
Je m'étais levé.
Hier,Je m'étais levé tôt pour aller au travail.
- tous lesverbes de mouvement(aller, passer, venir...) utilisent l'auxiliaire ÊTRE.
Exemple: Verbe PASSER = Participe Passé PASSÉ
J'étais passé au bureau.
2/ Auxiliaire AVOIR
- tous les verbes qui ne sont ni verbes pronominaux ni verbes de mouvements...
- tous les verbes pouvant faire une question avec"QUOI" ... (Manger quoi? Parler quoi?... Comer o que? Falar o que?...)
En sept ans de présidence, Luiz Inacio "Lula" da Silva a fait du Brésil un pays reconnu et respecté sur la scène internationale. En quoi sa politique étrangère se démarque-t-elle de celle de son prédécesseur, Fernando Henrique Cardoso ?
Avec Lula, le Brésil est entré non seulement dans une phase d'assainissement, mais aussi de croissance, qui a donné au pays des moyens d'expression internationaux dont il ne disposait pas jusque-là. Sous l'ère Cardoso [1995-2003], le Brésil avait été régulièrement secoué, soit par des crises politiques, soit par des crises financières. Depuis une dizaine d'années, il connaît une période de grande stabilité à la fois politique, institutionnelle et économique. En un sens, il était logique que cela se retrouve au niveau de la politique extérieure du pays. L'apport majeur du gouvernement de "Lula" est d'avoir compris que le pays disposait de marges de manœuvre inédites et de les avoir exploitées au maximum. Cela s'est traduit par une diplomatie tout à fait imaginative qui a donné au Brésil – on s'en aperçoit aujourd'hui – une place de pays émergent de plus en plus intégré dans les cercles de décision internationaux.
Comment cette "diplomatie imaginative" s'est-elle concrétisée ?
Dès son accession au pouvoir, en 2003, Lula a clairement marqué sa volonté de voir le Brésil jouer un rôle nouveau dans la gouvernance mondiale. Dans cet esprit, il a amorcé un rapprochement avec l'Inde et l'Afrique du Sud. L'objectif était de constituer un groupe de pression capable de modifier le processus de prise de décision au sein de l'OMC [Organisation mondiale du commerce]. Cette initiative, prise au printemps 2003, a eu une incidence directe sur la réunion du mois de septembre suivant, qui se tenait au Mexique, à Cancun. C'est là que se situe le point de départ du G22 [réunion des ministres des finances et des gouverneurs de banque centrale des pays du G7 et de quinze autres pays], qui a lui-même préludé à la naissance du G20, en 1999. Cancun a marqué un tournant car, jusqu'à ce moment, seule la triangulation entre l'Europe, les Etats-Unis et le Japon prévalait. Par la suite, le Brésil a multiplié les initiatives transversales, c'est-à-dire Sud-Sud, ce qui était totalement inédit. Des groupes de concertation pérennes ont ainsi été créés, entre l'Amérique du Sud et la Ligue arabe en 2005, mais aussi entre l'Amérique du Sud et l'Afrique noire. Cela n'a cependant pas empêché le pays de participer à des structures verticales Nord-Sud, comme par exemple le G4 avec l'Allemagne, l'Inde et le Japon – structure destinée à promouvoir la candidature de ces quatre pays comme membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU – ou le groupe de travail conjoint avec les Etats-Unis sur l'éthanol en 2007. Parallèlement, le Brésil s'est aussi investi dans des coopérations de type sud-américain, dont la plus connue est l'Unasur [Union des nations sud-américaines], fondée en mai 2008 à Brasilia. Cette organisation a joué un rôle prépondérant lors des crises en Bolivie en 2008 ou entre le Venezuela et la Colombie l'été dernier ; autant de différends dans lesquels ni l'ONU ni l'OEA [Organisation des Etats américains] ne sont intervenues. A travers toutes ces alliances, le Brésil a démontré son engagement en faveur de la multilatéralité.
En 2002, justement, le Brésil était généralement considéré comme un relais de la puissance américaine en Amérique du Sud. Qu'en est-il aujourd'hui ?
Le président Cardoso cultivait des affinités idéologiques avec les Etats-Unis, en particulier avec le Parti démocrate, mais aussi avec le premier ministre britannique Tony Blair. Aujourd'hui, le Brésil se situe dans une perspective différente, son but étant de promouvoir in fine une gestion collective des affaires du monde, à tous les niveaux – économique, commercial, diplomatique. Cela explique que le pays soit capable de conclure des accords aussi bien avec l'Inde et la Chine d'un côté, qu'avec l'Allemagne, la France ou les Etats-Unis de l'autre, et ce sur des dossiers très différents.
Dans quels domaines la politique étrangère brésilienne de ces sept dernières années a-t-elle rencontré ses plus grands succès ? Y a-t-il eu également des échecs ?
Non, on ne peut pas à proprement parler d'échecs car même lorsque les initiatives prises par le Brésil n'ont pas abouti – je pense notamment à l'accord scellé avec la Turquie sur le dossier du nucléaire iranien à la mi-mai –, le pays a apporté la preuve qu'il faisait désormais partie du jeu international. Cela était impensable il y a encore dix ans. En ce qui concerne ses succès diplomatiques, on peut retenir celui de l'OMC en 2003, qui a permis son admission au sein du G20, aux côtés de l'Argentine et du Mexique. C'est une forme de reconnaissance. Bien sûr, ces avancées n'occultent pas certaines difficultés, notamment l'incapacité du Brésil à intégrer le cercle fermé des membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU [Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie]. Cependant, son rôle au sein du système des Nations unies reste prépondérant. Depuis 2004, en effet, il dirige une opération de paix en Haïti, la Minustah, ce qui est une grande première pour un pays latino-américain. Il est d'ailleurs intéressant de constater, sur ce point particulier, que le Brésil a réussi à entraîner dans son sillage un certain nombre de pays d'Amérique latine : l'Uruguay, le Chili, l'Argentine, mais aussi l'Equateur et le Guatemala.
Dilma Roussef, ancienne chef de gouvernement de Lula, a fait campagne sur le thème de la "continuité" avec une politique qui a permis à des millions de Brésiliens de sortir de la pauvreté et au pays de connaître un boom économique sans précédent.
Dilma Rousseff, soutenue par le président Luiz Inacio Lula da Silva, a gagné le premier tour de l'élection présidentielle de dimanche au Brésil mais est contrainte à un ballottage inattendu face au social-démocrate José Serra, indique le Tribunal supérieur électoral (TSE).
Les Brésiliens refusent de donner un chèque en blanc à Dilma Rousseff
L'ancienne chef de gouvernement de Lula, 62 ans, a remporté le premier tour avec 46,9 % des voix, devant l'ex-gouverneur de Sao Paulo, José Serra, 68 ans, qui a recueilli 32,6 % des suffrages, selon les résultats officiels portant sur 99,8 % des votes transmis par le TSE. La candidate écologiste Marina Silva a créé la surprise en recueillant 19,35 % des voix, soit près de six points de plus que prédit par les sondages.
"Je fais face à ce second tour avec beaucoup de courage et d'énergie car j'aurai l'occasion de mieux détailler mes propositions et mes projets", a dit Dilma Rousseff dimanche soir au siège de son comité de campagne à Brasilia, que les sondages donnaient gagnante dès le premier tour.
"Nous sommes habitués aux défis. Traditionnellement, nous avons un bon résultat au second tour des élections", a ajouté Dilma Rousseff, une ex-guérillera qui a lutté contre la dictature militaire (1964-1985). Mme Rousseff, qui entend poursuivre la politique menée par Lula, mélange de pragmatisme économique et d'interventionnisme social, sera la grande favorite du second tour. Mais elle se voit privée du mandat fort que lui aurait donné une victoire dès dimanche, notamment pour mener à bien la réforme fiscale qu'elle a promise.
Devant ses partisans, elle a tenté de tirer un bilan positif du premier tour, affirmant que les semaines de campagne à venir lui permettraient de mieux détailler ses propositions. "Nous sommes des guerriers, nous sommes habitués aux défis", a-t-elle lancé, flanquée de son colistier et des cadres du Parti des travailleurs.
Devancée par JoséSerra dans les premiers mois de la campagne, elle a pris les devants et gardé une très large avance à la faveur du soutien sans faille de Lula, qui l'a lui-même désignée. Elle a ainsi bénéficié de l'immense popularité de celui qui préside le Brésil depuis huit ans, ainsi que d'une croissance économique forte dans ce pays, huitième puissance mondiale. Mais de récentes allégations de corruption visant une de ses anciennes collaboratrices, ainsi que les interrogations des chrétiens évangélistes sur ses positions sur l'avortement ou d'autres sujets sociétaux, ont mis un frein à sa campagne. Elles semblent avoir instillé un doute suffisant pour la priver du plébiscite annoncé.
Lula, qui quittera le pouvoir le 1er janvier 2011, avait dû lui aussi faire face à un deuxième tour en 2002 et en 2006 pour sa réélection. Dans la nuit, José Serra a lancé un appel à la mobilisation des électeurs : "J'en appelle aux partis, aux hommes politiques et aux Brésiliens de bonne volonté : nous allons construire un pays meilleur, parce que le Brésil pourrait être bien meilleur qu'il n'est", a-t-il dit. "En route pour la victoire à la présidence", a-t-il lancé à ses partisans réunis à Sao Paulo. "Nous avons défendu une idée victorieuse et le Brésil a entendu notre appel", a dit Marina Silva au siège du Parti vert à Sao Paulo.
Comme il l'a fait depuis le lancement de la campagne à la télévision, Lula devrait profiter des prochaines semaines pour défendre son bilan – notamment les vingt millions de personnes sorties de la pauvreté depuis 2003 – et inviter les électeurs à choisir la meilleure candidate à ses yeux, Dilma Rousseff. Quelque 136 millions de Brésiliens étaient appelés aux urnes pour élire non seulement le président mais aussi les gouverneurs et députés des 27 Etats fédérés, renouveler l'Assemblée nationale et les deux tiers du Sénat. Le second tour de l'élection présidentielle se tiendra le 31 octobre.
Seize ans après avoir offert au Bésil son quatrième titre mondial, la paire magique de la Seleçao fait de nouveau parler d'elle, mais désormais sur la scène politique. Romario, encarté au Parti socialiste brésilien, et Bebeto, candidat sous les couleurs du Parti démocrate travailliste, ont été élus respectivement député fédéral et député à l'Assemblée régionale de l'État de Rio de Janeiro.
Mais leur popularité n'est peut-être plus ce qu'elle était en 1994, quand à eux deux ils avaient inscrit huit buts pour le Brésil lors du Mondial aux États-Unis. Ainsi Romario n'a-t-il été élu qu'avec 146 859 suffrages, soit 1,84 % des suffrages. Cela aura cependant suffi à l'ancien buteur de Barcelone, aujourd'hui âgé de 44 ans, pour faire son entrée à la chambre basse du Parlement brésilien, malgré son manque d'expérience politique. L'ancien footballeur a fait campagne avec des slogans comme "Je compte sur vous pour donner un nouveau but au Brésil", et a promis de mettre en place des programmes sportifs et politiques en faveur des handicapés, lui qui est le père d'une fille trisomique.
UN CLOWN BIEN ÉLU
Le système électoral brésilien, où le vote est obligatoire, incite les partis à enrôler des candidats qui pourront attirer un grand nombre de voix sur leur seul nom (Lire sur ce sujet l'article : "Tous les chemins mènent à Brasilia"). Ainsi le député le mieux élu du Brésil, ce week-end, a-t-il été Francisco EverardoOliveira Silva... un clown très populaire qui a connu le succès sous le nom de Tiririca, et a récolté dimanche 1,3 million de voix.
Pour former l'imparfait on utilise le radical du verbe à la première personne du pluriel au présent de l'indicatif. On ajoute à ce radical les terminaisons de l'imparfait.
RAD+ ais, ais, ait, ions, iez, aient.
EX : Aimer: nous aimons = aim exception : le verbe être
*Verbes duPremier Groupe (ER)
Je aimais Tu aimais Il / elle aimait Nous aimions Vous aimiez Ils /elles aimaient
*Verbes duSecond Groupe (IR)
EX : Finir: nous finissons = finiss
Je finissais Tu finissais Il / elle, on finissait Nous finissions Vous finissiez Ils /elles finissaient
*Verbes duTroisième Groupe (RE)
EX : Sortir: nous sortons = sort exception : le verbe être
Je sortais Tu sortais Il, elle, on sortait Nous sortions Vous sortiez Ils, elles sortaient
*I/Le Conditionnel présent se forme de la même manière que le Futur avec une terminaison différente. Les terminaisons du Conditionnel sont égales à celle de l'Imparfait :
ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient.
*les verbes du Premier groupe (ER), se forment de la manière suivante...
Verbe à l'infinitif + terminaison
INF + ais, ais, ait, ions, iez, aient.
Ex:PARLER
Je parlerais
tu parlerais
il / elle parlerait
nous parlerions
vous parleriez
ils / elles parleraient
*les verbes du Deuxième groupe (IR), se forment de la manière suivante...
Verbe à l'infinitif + terminaison
INF + ais, ais, ait, ions, iez, aient.
Ex:PARTIR
Je partirais
tu partirais
il / elle partirait
nous partirions
vous partiriez
ils / elles partiraient
* les verbes du Troisième groupe (RE), c'est l'infinitif présent complet qui sert de radical, et les terminaisons sont les suivantes :
Certains radicaux sont toutefois transformés :
Le radical du futur des verbes terminés en (RE) est amputé de la lettre E de l'infinitif :
*II/ Le Conditionnel passé se forme de la même manière que le Passé composé et le Plusque parfait avec l'auxiliaire AVOIR ou ÊTRE au Conditionnel Présent. Exemple:*Au Passé composé, l'auxiliaire est au présent de l'indicatif. # J'aiparléfrançais avec mon frère. # Jesuisallé à Paris avec mes parents.
* Au Plusque parfait, l'auxiliaire est à l'imparfait de l'indicatif. # J'avaisparlé français avec mon frère. # J'étaisallé à Paris avec mes parents.
*Au Conditionnel passé, l'auxiliaire est au Conditionnel présent. # J'auraisparlé français à mon frère, s'il avait voulu m'écouter. # Je seraisallé à Paris avec mes parents, s'ils avaient assez d'argent.
1/Avec l'auxiliaire AVOIR ...
J' auraisparlé tu aurais parlé il/elle auraitparlé nous aurionsparlé vous auriez parlé ils/elles auraientparlé
2/Avec l'auxiliaire ÊTRE ...
Je seraisallé (e) tu serais allé (e) il/elle seraitallé (e) nous serionsallés (es) vous seriez allés (es) ils/elles seraientallés (es)
Le passé composé en Français se forme de l'auxiliaire ÊTRE ou AVOIR + le Participe Passé du verbe. Il se construit avec 2 mots, un verbe auxiliaire au présent simple et le participe passé de l'infinitif du verbe qui fait l'action.
*Verbe AVOIR - ÊTRE (présent de l'indicatif)
Avoir
j' ai tu as il a / elle a nous avons vous avez ils ont / elles ont
Être
je suis tu es il est / elle est nous sommes vous êtes ils sont / elles sont
*Participe Passé
Verbes Réguliers
1 Groupe - er
sauter
sauté
saltar
aimer
aimé
gostar/amar
2 Groupe - ir
finir
fini
acabar
choisir
choisi
escolher
3 groupe - re
vendre
vendu
vender
attendre
attendu
esperar
*Participe Passé
Verbes Irreguliers
avoir
eu
ter/haver
falloir
fallu
necessitar
pouvoir
pu
poder
savoir
su
saber
tenir
tenu
Segurar
valoir
valu
valer
venir
venu
vir
vouloir
voulu
querer
connaître
connu
conhecer
reconnaître
reconnu
reconhecer
paraître
paru
parecer
apparaître
apparu
aparecer
disparaître
disparu
desaparecer
apercevoir
aperçu
perceber
boire
bu
beber
concevoir
conçu
conceber
croire
cru
crer/acreditar
décevoir
déçu
decepcionar
recevoir
reçu
receber
voir
vu
ver
lire
lu
ler
élire
élu
eleger
vivre
vécu
viver
survivre
survécu
sobreviver
Autres Verbes Irréguliers
naître
né
nascer
mourir
mort
morer
dire
dit
dizer
écrire
écrit
escrever
décrire
décrit
descrever
conduire
conduit
dirigir
construire
construit
construir
cuire
cuit
cozer
détruire
détruit
detruir
produire
produit
produzir
reconstruire
reconstruit
reconstruir
traduire
traduit
traduzir
apprendre
appris
apreender
comprendre
compris
compreender
mettre
mis
colocar
prendre
pris
preender
reprendre
repris
repreender
surprendre
surpris
surpreender
acquérir
acquis
adquirir
conquérir
conquis
conquistar
rire
ri
rer
sourire
souri
sorrir
suivre
suivi
seguir
"Comment choisir l'auxilliaire"
1/ Auxiliaire ÊTRE
- tous les verbes pronominaux ( se laver, s'appeler, se coucher...),
Exemple: Verbe SE LEVER = Participe Passé SE LEVÉ
Eu me levantei= Je me suis levé
- tous lesverbes de mouvement(aller, passer, venir...) utilisent l'auxiliaire ÊTRE.
Exemple: Verbe PASSER = Participe Passé PASSÉ
Eu passei no escritorio= Je suis passé au bureau.
2/ Auxiliaire AVOIR
- tous les verbes qui ne sont ni verbes pronominaux ni verbes de mouvements...
- tous les verbes pouvant faire une question avec"QUOI" ... (Manger quoi? Parler quoi?... Comer o que? Falar o que?...)
Exemple: verbe PARLER = Participe Passé PARLÉ
Eu falei = J' ai parlé Hier, j'ai parlé français avec mon ami. Ontem, falei francês com meu amigo.
Le passé composé exprime une action ponctuelle qui s'est déroulée et achevée dans le passé . Il ne faut pas le confondre avec l'expression d'un état présent du type le devoir est terminé, où est n'est pas ici un auxiliaire mais le verbe être dans son sens plein.
Néanmoins, le passé composé a la structure — et à l'origine la valeur — d'un accompli du présent, signifiant qu'à l'heure où l'on parle, l'événement exprimé par le verbe est achevé, quel que soit le moment où il s'est déroulé, qui n'est pas envisagé par le locuteur (c'est la situation présente seule qui l'intéresse). Ex :
Tiens ! Tu es rentrée.
Cécile a visité, maintenant, toutes les nations de la Terre.
Mais il est plus souvent utilisé avec une valeur de passé, exprimant qu'un événement s'est déroulé à un moment du passé, qui peut ne pas être précisé ni connu précisément, mais qui est envisagé par le locuteur. Ex :
(Hier), je suis rentrée plus tôt et j'ai terminé mon devoir.
— Ils parlent arabe ? — Oui, ils ont vécu en Tunisie.
Dans certains cas, l'action ou l'état se poursuit au moment de l'énonciation (et n'est donc pas objectivement achevé) mais est exprimé au passé composé parce qu'il est envisagé exclusivement dans le cadre d'un espace temporel qui lui est achevé. Ex :
J'ai toujours aimé ce genre de film. (« jusque maintenant » — le locuteur définit conceptuellement une durée fermée se terminant au moment où il prend la parole, refusant de s'exprimer quant à l'avenir ; le verbe doit donc être à la forme accomplie du présent, et non pas au présent duratif, même si ce type de phrase est interprété comme « et il n'y a pas de raison que ça ne continue pas » ).
Il peut aussi présenter un aspect itératif :
Longtemps, je me suis couché de bonne heure. A comprendre comme : pendant une longue période (passée) de ma vie, je me suis régulièrement couché de bonne heure.
L’économie fait de la Côte d'Ivoire l'un des pays plus riches d'Afrique. Cette économie essentiellement axée sur la production de café et de cacao, connaît au cours des deux premières décennies un essor exceptionnel, faisant de la Côte d’Ivoire un pays phare dans la sous-région ouest-africaine. En 1990, le pays traverse, outre la crise économique survenue à la fin des années 1970 et qui perdure, des périodes de turbulence aux plans social et politique. Ces problèmes connaissent une exacerbation à la mort de Félix Houphouët-Boigny en 1993. L’adoption d’une nouvelle constitution et l’organisation de l’élection présidentielle qui, en 2000, porte au pouvoir Laurent Gbagbo, actuel président de la République, n’apaisent pas les tensions sociales et politiques, qui conduisent au déclenchement d’une crise politico-militaire le 19septembre2002. Après plusieurs accords de paix, le pays s’engage le 4mars2007, dans un nouveau processus de sortie de crise fondé sur un accord politique conclu à Ouagadougou (Burkina Faso).
’Académie française fut fondée en 1635 par le cardinal de Richelieu.
Les statuts et règlements visés par le Cardinal, avec les lettres patentes signées en 1635 par Louis XIII et enregistrées par le Parlement en 1637, consacrèrent le caractère officiel d’une compagnie de lettrés, qui se réunissaient auparavant de manière informelle.
La mission qui lui fut assignée dès l’origine était de fixer la langue française, de lui donner des règles, de la rendre pure et compréhensible par tous. Elle devait dans cet esprit commencer par composer un dictionnaire.
La première édition de celui-ci fut publiée en 1694, les suivantes en 1718, 1740, 1762, 1798, 1835, 1878, 1932-1935. La neuvième édition, dont la publication a débuté en 1992, est en cours.
’Académie tint ses séances d’abord chez tel ou tel de ses membres, puis chez le chancelier Séguier à partir de 1639, au Louvre à partir de 1672, et enfin au collège des Quatre-Nations, devenu palais de l’Institut, de 1805 à nos jours.
Au cours de ses trois siècles et demi d’existence, elle a su maintenir ses institutions, qui ont fonctionné avec régularité, hormis l’interruption de 1793 - 1803.
Le cardinal de Richelieu s’était proclamé protecteur de l’Académie. À sa mort, cette protection fut exercée par le chancelier Séguier, puis par Louis XIV et, par la suite, par tous les rois, empereurs et chefs d’État successifs de la France.